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Le jeudi c’est stéréophonie: Andy McKee – Drifting

Chers amis, je pense que nous pouvons, après cette première semaine estivale véritablement ensoleillée, declarer cet été 2010 ouvert!

Et le beau temps, je sais pas vous, mais ça me donne d’irrésistibles démangeaisons. Une furieuse envie de me gratter … la guitare.

C’est pourquoi je vous propose de découvrir en ce musical jeudi ce superbe morceau, Drifting, véritable performance technique assuré par le guitariste Andy McKee .

Non, cet homme n’a pas quatre ou six mains. Oui, il est vraiment extraordinaire (pour ma part je n’ai encore pas trouvé plus impressionnant sur la toile)

Oui, des non, des oui, vous en trouverez à la pelle j’en suis certain. Mais si j’ai choisi ce morceau, c’est parce qu’au delà de sa technicité il est VRAIMENT beau …

Enjoy!

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Le jeudi c’est stéréophonie : Greg Patillo

Vous connaissez le beatbox ? Vous appréciez la flûte traversière ?

Que diriez-vous si je vous proposais de mélanger tout ça ?

Impossible ? Eh bien force vous serait alors de constater que l’extra-terrestre à l’honneur aujourd’hui, connu sous le nom de Greg Patillo ne l’entend pas de cette oreille ! Cest en effet pour notre plus grand bonheur qu’il reprend à sa manière de nombreux thèmes connus. Parmi ceux-ci : la panthère rose, inspecteur gadget, Pierre et le Loup, …et Mario Bross que j’ai choisi de vous faire découvrir ici.

Le Jeudi c’est stéréophonie : Deux filles, deux tasses

10 juin 2010 7 commentaires

Adeptes de notre rendez-vous musical hebdomadaire, je vous salue !

Il ne vous aura certainement pas échappé qu’au dernier jeudi manquait un petit quelque chose, à base de découverte, d’étonnement, et surtout de talent. Je m’en excuse.

La faute au beau temps ? Pas vraiment… Mais passons ! Vous me pardonnerez certainement en visionnant la video du jour.

Ce que j’aime dans la musique, c’est qu’elle peut être créée à partir de trois fois rien. Lulu and the Lampshades nous en donnent brillamment la preuve avec You gonna miss me, qu’elles chantent en duo, accompagnées de… Deux tasses en plastique ! 🙂

Je vous encourage bien évidemment à essayer chez vous, afin de mieux vous rendre compte de la difficulté de la chose…

– Euuh, moi je veux bien mais on a pas les paroles !

Héhé ! Je savais que vous diriez cela, alors je vous les ai dégotées…

Enjoy ! Lire la suite…

Le jeudi c’est stéréophonie : The Vocapeople

Eh oui ! Vous l’attendiez j’en suis sûr : Jeudi est arrivé, avec tout le rêve en stéréo qu’il implique…

Cette semaine, c’est un groupe vocal Israélien composé de trois chanteuses (alto, mezzo-soprano, soprano) auxquelles s’ajoutent trois chanteurs (basse, baryton, ténor) et deux beatboxeurs qui vous surprendra par ses prouesses vocales, reprenant dans un pot-pourri pas si pourri une dizaine de chansons célèbres, pour finalement délivrer un medley de toute beauté…

Ne cherchez pas les instruments ou les effets artificiels : il n’y en a point. Savourez simplement ces 3 minutes et 15 secondes de magie vocale.

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Le jeudi c’est stéréophonie : Yuja WANG – Le Vol du Bourdon

Hé les amis ! On est jeudi !

Et le jeudi c’est ?…       Stéréophonie !

Aujourd’hui, je proposerai à vos délicates petite oreilles de se divertir avec un peu de musique classique. Et quelle musique ! 😀

Voici donc Yuja WANG, jeune pianiste chinoise interprétant avec l’incommensurable talent qu’est le sien un arrangement pour piano du célèbre « Vol du Bourdon » de RIMSKY-KORSKAKOV. Un morceau pour le moins… aérien. 😉

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Kandid : A bon entendeur…

18 Mai 2010 1 commentaire

Vous vous souvenez quand je disais que je partagerai avec vous mes découvertes musicales ? Et bien voilà qui commence dès à présent.

C’est lors d’un concert organisé dans la petite ville d’Ennezat (63) par l’association des Amis de la Musique, dont je fais partie, que j’ai découvert Kandid. Après un concert de haute qualité (dont la seconde partie fut assurée par le groupe 2,21 GigaWatts, qui verra très prochainement réapparaître son nom sur cette page), j’ai pu bavarder, durant le « casse-croûte associatif », avec un artiste aussi accessible que sympathique, le questionnant de manière informelle sur son parcours, sa musique, etc…

Je m’en vais donc – hop, comme ça tout de go –  vous présenter l’œuvre de ce bonhomme au parcours si spécial…

Nicolas DRIOT a fais ses premiers pas dans le monde de la musique à la batterie, qu’il a pratiquée pendant 3 ans. Néanmoins, plus enclin à se montrer au devant de la scène que caché derrière ses cymbales, il a fini par choisir la guitare, puis s’est naturellement mis au chant. Influencé par la pop anglaise, il s’est exilé durant quatre ans à Manchester, où il a suivi une formation dans une école de musiques actuelles. Après quelques expériences musicales, l’homme est revenu dans son pays natal avec le projet KANDID, dont il avait été l’initiateur outre-manche.

Sa voix calme et veloutée s’accordant parfaitement avec un répertoire basé sur le texte et l’émotion, Kandid tente – souvent avec brio – de partager son ressenti avec son auditoire. Ses textes qui, sans pour autant être autobiographiques sont liés à son vécu, sont accompagnés d’une rythmique pop (guitare, basse, batterie) à laquelle s’ajoute la douceur significative du timbre d’un violoncelle.

Cet univers poétique prend toute son ampleur dans un album que je ne saurais que trop vous conseiller, intitulé  « A qui veut l’entendre », enregistré entre Clermont-Ferrand et Besançon avec les participations entre autres d’Aldebert, du guitariste de Kaolin et du quatuor à cordes Arc & Fact. Ainsi, treize chansons aux embruns pop-folk vous feront voyager autour du thème omniprésent de l’absence, sans pour autant se départir d’une certaine légèreté, voire même d’autodérision (« Quand j’serai grand »)…

C’est seul ou accompagné que Kandid a pu fouler de ses pieds nus les quelques 300 scènes qui ont eu le bon goût de l’accueillir partout en France… et jusqu’en Chine ! Le groupe a également assuré de nombreuses premières parties, parmi lesquels vous saurez en distinguer quelques prestigieuses : Raphaël, Miossec, Jeanne Cherhal, Pauline Croze, Bertignac, Kaolin, Daniel Darc, Magyd Cherfi, La Rue Kétanou, Les Elles, Florent Marchet, Benoît Morel, Mouss & Hakim, Entre 2 Caisses, Les Trapettistes, Cocoon, …

Vous voulez écouter Kandid ?   ==> son myspace

Vous vous devez de désirez commander ses albums ?  ==>  tous les renseignements nécessaires

Vous seriez heureux de prendre contact avec lui ?  ==>  son profil facebook

Vous deviendriez bien co-producteur de son prochain album ? ==>  misez sur yourmusichall

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Colin HAY

Salut à tous.

Pour mon premier billet à connotation « musicale », je compte rebondir sur l’article intitulé « Scrubs : la série Parfaite » publié précédemment par mon co-blogueur favori, en vous présentant Colin HAY, dont le nom vous a peut-être effleuré le regard lors de votre lecture – attentive, n’en doutons pas – dudit précédent sujet.

Puisque, à votre instar je suppose, je dois bien avouer mon dédain envers les longues et pompeuses biographies d’artistes que vous aurez (ou non) le loisir de lire sur d’autres pages de la blogosphère, je tenterai d’être simple et concis concernant cet aspect, afin de mieux me consacrer aux apparitions télévisées de l’intéressé.

Mais puisque c’est là l’usage, voici un résumé du résumé de son parcours…

Né le 29 juin 1953 à Kilwinning (Ecosse), Colin Hay a émigré en Australie avec sa famille à l’âge de 14 ans. En 1978, il fait la connaissance du guitariste Ron Strykert, avec qui il forme un duo acoustique. Peu après, les deux hommes s’entourent de Jerry Speiser aux percussions, John Rees à la basse et Greg Ham à la flûte et au sax pour former le groupe Men at Work. Le groupe sort son premier album, « Business as usual », en 1981.

Après la dissolution des Men at Work en 1985, Hay se lance dans une carrière solo, dont émanent une dizaine d’albums, parmi lesquels « Looking for Jack » ou encore « Wayfaring Sons », qui obtiennent un certain succès commercial. Je vous invite d’ailleurs à découvrir quelques morceaux de cette superbe discographie folk-rock acoustique sur son MySpace Officiel.

C’est en 2002 que Colin Hay fait une apparition remarquée dans l’épisode Mon exagération (My Overkill pour nos amis bilingues ) de la fameuse série Scrubs, où il interprète un des plus grands succès du groupe Men at Work : Overkill (je vous renvois à la vidéo ci-jointe).

On notera d’ailleurs que le chanteur s’est vu offrir, en 2004, de réitérer l’expérience, puisqu’il contribua à la bande son du film Garden State, réalisé par Zach Braff (celui-là même qui interprète JD dans Scrubs, comme vous dites ! 😉 ), avec une chanson intitulée I just don’t think I’ll ever get over you.

…Et il semblerait que monsieur Hay y ait pris goût à ces petites apparitions télévisées ! En effet, vous pourrez le retrouver dans plusieurs épisodes de Scrubs (outre My Overkil dont j’ai déjà parlé plus haut) à savoir My hard labor et My finale, ainsi que dans les séries What about Brian, The Black Donnelys et Cane, où figurent diverses chansons de son répertoire.

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